Troupe 1ère Arras Saint Charles de Foucauld

Je vous donne ici quelques conseils pour réaliser ce croquis assez simple et qui demande peu de matériel.

Pour ce croquis, il vous faut :

• Une feuille A4 pourvue de carrés que l’on aura dessinés au préalable. On photocopiera cette feuille pour éviter de refaire le quadrillage. On peut aussi utiliser des fiches bristol A4 quadrillées, ce qui fera gagner du temps… La taille des carrés dépend de la taille de la feuille. Le nombre de carrés dépend de votre grille panoramique.

• un crayon de bois (HB de préférence) et une gomme
• une grille panoramique constituée d’un cadre en bois. Les carrés sont formés avec de la ficelle. On fixera un cordon  que l’on glissera autour du cou afin de maintenir la grille à égale distance des yeux.

• Un support pour dessiner (plaque de plexiglas)

                                 

 

Etape 1 :

  

- Choisir un repère central et le dessiner au milieu de la feuille. (De préférence un bâtiment)

- Chercher ensuite des éléments remarquables, disséminés dans le paysage, que l’on reporte sur le croquis, en s’aidant de la grille.

- Faire attention à garder la ficelle tendue autour du cou afin demaintenir la même distance entre les yeux et la grille. Il faut garder le repère initial au milieu de celle-ci.

 

Etape 2 :

Tracer les lignes caractéristiques du terrain (lignes de faîte, d’horizon) ; puis la planimétrie (routes, maisons, bois, rivières…).
Les conventions à respecter sont les suivantes :

• routes : toujours deux traits parallèles : on ne fait pas de perspective.
• rivières : également deux traits parallèles, avec des traits dans le sens du courant.
• arbres et bois : dessin des contours uniquement, avec des hachures verticales à l’intérieur, on peut aussi dessiner les premiers arbres puis ne représenter que la cime des suivants. (cela permet de distinguer les forêts de feuillus et de résineux)

Etape 3 :

Reprendre le dessin en éliminant les ratures et les surcharges. Les traits doivent être net, arrêtés. Ils sont forts lorsque l’objet est proche et légers dans les cas contraires.

 Etape 4 :

Inscrire les indications indispensables sur le croquis :

• lieu de ton observatoire
• azimut de ton point central et le Nord (faire une rose des vents)
• éloignement approximatif des différents plans
• nom des lieux, routes, rivières, que tu auras identifiés
• la date et l’heure du croquis
• et enfin le nom de l’auteur

Et voilà un magnifique croquis qui illustrera les comptes rendu d’exploration et de raid !

 

 

 

 

 Nicolas, SP du Guépard

Comme il l’a été fait dans Woodcraft il y a quelques semaines, il est bon de faire un bref rappel du sens de l’uniforme, de sa symbolique, mais également de manière plus terre à terre de son contenu.

I/ l’uniforme tout un symbole !

L’uniforme est porté depuis l’origine par tous les scouts et les guides du monde entier. C’est grâce à lui qu’ils se reconnaissent et se font reconnaitre.  

Il aide à aplanir les différences sociales tout en permettant l’identification par le code officiel des insignes : province, groupe, poste d’action, badges.

Il permet également de marquer l’association de plusieurs personnes de manière à ce qu’elles ne forment plus qu’un tout, un ensemble.

Chaque mouvement à son uniforme, il est ainsi preuve d’un sentiment d’appartenance à une famille. Quand un scout revêt son uniforme il renvoie une image de lui-même, de sa patrouille, de sa troupe mais également de son mouvement.

Il marque, une totale adhésion aux principes de base du scoutisme, un consentement à vivre selon l’ensemble des valeurs véhiculées par le mouvement.

 Chaque scout doit ainsi être fier de son uniforme, en prendre soin mais surtout en posséder un complet !

II/ « L'habit ne fait pas le moine, mais il est comme le regard, le miroir de l'âme. »

Même si au sein d’un même mouvement il peut y avoir de petites différences la base reste la même.  Il est cependant important que toute la troupe porte le même uniforme car comme vu précédemment il marque le sentiment d’appartenance à celle-ci.

Voici un modèle d'uniforme:

·         Le couvre-chef : Beret ou quatre bosses sur lequel est épinglée la croix de promesse en métal des SUF., il est important de préciser que le quatre bosses est vraiment distinctif des SUF et que de plus il s’avère bien utile lors de longues marches sous le fameux soleil perçant du Pas de calais ou sous les rares averses de la même région. Le béret quant a lui a un aspect certes pratique par sa petite taille et son transport mais ne peut répondre à toutes les qualités du fameux galurin. Ainsi à choisir entre les deux, votre maitrise vous conseille, vous l’aurez compris, sans hésiter le quatre bosses !

·         La chemise : bien sur beige. Le col ouvert (pas le dernier bouton fermé), à manches longues mais les retroussées (symbole du toujours prêt), deux doigts voire trois au-dessus du coude. Elle est bien sur rentrée dans le short. A noter qu’il est pratique d’avoir une chemise avec des poches et des épaulières car ce sont de bons repères pour coudre les insignes.  Pour la disposition des insignes regarder le dessin.

·         Le pull, beige, col rond, insignes disposés de la même façon que sur la chemise.

·         Le short. Beige. il doit être retroussé (s’il n’est pas assez court) au-dessus du genou (une main au-dessus).

Demain, le 22 février, nous fêterons l’anniversaire de la naissance de Lord Robert Baden-Powell of Gilwell, le génial fondateur du Scoutisme. Par coïncidence, BP partage la même date d’anniversaire que son épouse Olave Baden-Powell, qui fut Cheftaine Guide mondiale.

Ce jour est fêté dans de nombreuses associations scoutes à travers le monde comme le « Founder’s Day » (la Journée du Fondateur). C’est l’occasion d’en apprendre plus sur la vie de B-P et de relire ses œuvres. La plus célèbre reste « Scouting For Boys » (Eclaireurs) qui pose les bases du scoutisme. Ce livre, que tout scout se doit d’avoir lu, fait partie de la bibliothèque de troupe ! N’hésitez plus et demandez-le auprès de la Maîtrise !

à Biographie de Baden-Powell (1857-1941)

sur Scoutopedia (cliquez sur le lien)

à  BD retraçant la vie de Baden-Powell 

(aussi disponible dans la bibliothèque de troupe)

La prière de Baden-Powell

Notre Père à tous, 
Nous voici aujourd'hui réunis ici devant Vous, 
nombreux par les pays dont nous venons et par les races que nous représentons, 
mais ne faisant qu'un par la fraternité qui nous unit sous votre regard, 
ô notre Divin Père. 

Nous nous présentons devant vous, le cœur plein de gratitude et de joie, 
à cause des nombreuses bénédictions que vous nous avez accordées,
et nous vous sommes reconnaissants 
de ce que notre Mouvement ait prospéré en trouvant grâce à vos yeux. 

En retour nous déposerons à Votre autel, en humble offrande d'action de grâces, 
le sacrifice que nous pouvons faire : 
celui de notre personne au service des autres. 

Pendant ce temps de communion, nous vous prions de nous accorder, 
par votre inspiration divine, un esprit plus ouvert, 
une vision plus claire des perspectives qui se présentent 
et des possibilités qui s'offrent à nous. 

Que nous puissions ensuite repartir avec une foi plus forte 
pour mener à bien notre mission, 
qui est de faire grandir l'idéal et les possibilités de l'homme
en contribuant par une compréhension mutuelle plus étroite, 
à l'avènement de votre Royaume, 
de bonne volonté, de bonheur et de Paix. 

Le nouveau livre du National SUF Techniscout est désormais disponible dans la bibliothèque de Troupe !

Ecrit par Eric Bargibant, ancien membre de l’ENE (équipe Nationale Eclaireurs) et ancien rédacteur en chef de Woodcraft durant 6 ans, et illustré par Bernard Dufossé et Alain Fauris, ce manuel très complet est une véritable compilation de l’essentiel des techniques scoutes dans tous les domaines !

     Installer confortablement une tente dans les arbres, allumer un feu sous la pluie, animer une veillée médiévale, préparer un banquet au milieu de fougères, lire la carte aux étoiles, décoder un message des templiers… 

    Techniscout est le manuel indispensable du scout dégourdi, le guide de l'aventurier du XXIe siècle. Avec des centaines de photos et d'illustrations, la méthode pour vivre heureux dans l'aventure est expliquée et rend possible le défi scout. Les solutions les plus pratiques, les trucs et les astuces - testés par des troupes et des compagnies - remplissent les pages de ce carnet indispensable.

Techniscout en chiffres

L’essentiel de la technique scoute :

• - 15 thèmes incontournables : : astronomie, météorologie, animaux, arbres et végétaux, topographie, raids, explos, matelotage, froissartage, installations, campisme, cuisine, santé, sécurité et secourisme, transmissions, jeux et activités, veillées, prières...
• - 143 articles inédits ou tirés de Woodcraft & pourquoi Pas ?
• - 416 pages tout en couleurs
• - Plus de 1000 illustrations, photos et schémas

Défi Techniscout

       Avec la parution de l’ouvrage, Woodcraft a lancé un défi à toutes les patrouilles de France et de Navarre : Mettez en œuvre ces techniques scoutes et envoyez le récit de vos exploits avec photos à l’appui à la rédaction de votre magazine préféré !

 à woodcraft@scouts-unitaires.org

La Buse célèbre forban fut arrêté vers 1729 par Le Capitaine d'Hermitte à Madagascar. Le Pirate est condamné à mort en 1730 par pendaison. Au moment de l’exécution de sa sentence, Levasseur dit la Buse lança un morceau de papier depuis son échafaud à la foule en criant :

 "Mes trésors à qui saura comprendre !"

Personne jusqu’à aujourd’hui n’a réussi à trouver l’emplacement de ceux-ci… même vous...?

La Guerre de Sept ans est occasionnée par des conflits de limites entre colons anglais et français dans le Canada, ce que Voltaire appelait "quelques arpents de neige", et pour la possession de la vallée de l'Ohio.

Les Anglais ouvrent les hostilités en saisissant, sans déclaration de guerre préalable, trois transports de troupes et plus de 300 navires marchands. La guerre est l'occasion d'un renversement des alliances en Europe, puisque la France et l'Autriche, qui se faisaient la guerre depuis deux cents ans, s'unissent en signant le Traité de Versailles (1^er mai 1756), alors que le roi de Prusse, Frédéric II, avait conclu une alliance avec l'Angleterre.

Si la France obtient quelques succès au début dans le Hanovre, possession du roi d'Angleterre, sa marine est anéantie par celle, bien supérieure, de l'Angleterre. Les défaites cuisantes de Rosbach et Minden mettent en évidence le génie de Frédéric II et le rôle prééminent que la Prusse entend jouer désormais sur le théâtre européen, et entraînent l'abaissement de la France.

Le traité de Paris (10 février 1763) met fin à la guerre. C'est une humiliation pour la France, contrainte d'abandonner le Canada, la vallée de l'Ohio, la rive gauche du Mississipi et plusieurs Antilles. Les Français renoncent à toute prétention politique sur l'Inde où ils conservent 5 villes démantelées et sans garnison. Ils abandonnent également leurs comptoirs du Sénégal, sauf l'île de Gorée.

Scoutmaîtrise

CT : Bastien Martin

AS: P. Nicolas van Lathem,

ACT: Augustin Brunelle Charles Roblot, Cyrille de Carcouët, Théophile Roquette, Antoine Lanavère

 Loup

CP : Louis Hubo

SP : Conrad Jarmula

Richard Blake

Louis Brasme

Aymeric d’Aubreby

Arthur Aurick

Louis Lamoril

Paul Everaert

 Lynx

CP : Natan Bodlet

SP : Benoît Heyman

Thomas Delétoille

Audran Fournet

Guillaume Legrand

Leopold Fort

 Ours

CP : François Scache

SP : Louis Gheerbrant

Erwan Hodent

Quentin Larcher

Jean Everarts

Eloi Coquidé

Damien Regost

Adrien Hiez

 Guépard

CP: Foucauld Martin

SP: Nicolas Heyman

Arthur Sanchez

Raphaël de Carcouët

Gonzague Damiens

Grégoire Coquidé

Luc Holland

Les photos du camp d'été 2011 dans les montagnes du Lomont sont enfin disponibles! Cliquez sur lien ci-dessous pour y accéder :

Camp d'été 2011

Un DVD avec l'intégralité des photos de l'année 2010-2011 sera distribué prochainement à chaque patrouille.

                Risquer c’est être libre

Rire, c’est risquer de paraître idiot

Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental

Aller vers quelqu’un, c’est risquer de s’engager

Exposer ses sentiments, c’est risquer d’exposer son moi profond

Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c’est risquer de les perdre

Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour

Vivre, c’est risquer de mourir

Espérer, c’est risquer de désespérer

Essayer c’est risquer d’échouer

Mais il faut prendre des  risques car le plus grand danger de la vie, c’est de ne rien risquer du tout

Celui qui ne risque rien, n’a rien, n’est rien

Il peut éviter la souffrance et la tristesse mais il n’apprend rien, ne ressent rien, ne peut ni changer, ni se développer, ne peut ni aimer, ni vivre enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté.

Seuls ceux qui risquent sont libres.